Les fragments d’un destinée éteint
Le 36 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un tranquilité oppressant. Les principes de sécurité, fréquemment stricts, avaient persisté désactivés pour accélérer l’analyse du calme. Tous les relevés affichaient des dosages normaux, aucune panne, aucun miroir sur les circuits, zéro perturbation électromagnétique